Google
 
Du poil sur le Web Du poil sur Alan Smithee
<body><script type="text/javascript"> function setAttributeOnload(object, attribute, val) { if(window.addEventListener) { window.addEventListener('load', function(){ object[attribute] = val; }, false); } else { window.attachEvent('onload', function(){ object[attribute] = val; }); } } </script> <div id="navbar-iframe-container"></div> <script type="text/javascript" src="https://apis.google.com/js/platform.js"></script> <script type="text/javascript"> gapi.load("gapi.iframes:gapi.iframes.style.bubble", function() { if (gapi.iframes && gapi.iframes.getContext) { gapi.iframes.getContext().openChild({ url: 'https://www.blogger.com/navbar.g?targetBlogID\x3d3383812\x26blogName\x3dTHE+ALAN+SMITHEE+PAGE\x26publishMode\x3dPUBLISH_MODE_BLOGSPOT\x26navbarType\x3dBLACK\x26layoutType\x3dCLASSIC\x26searchRoot\x3dhttps://alansmithee.blogspot.com/search\x26blogLocale\x3dfr_FR\x26v\x3d2\x26homepageUrl\x3dhttp://alansmithee.blogspot.com/\x26vt\x3d8419836695219507794', where: document.getElementById("navbar-iframe-container"), id: "navbar-iframe" }); } }); </script>
 
    

 

 

 

 

 

 

mardi 11 février 2003

2 MORTS ET UN ENTERREMENT

Il a tué le festival d’Avoriaz car son succès mondial lui a donné l’envie de le remplacer par un stupide festival du film français qui s’est vautré lamentablement dès le départ, laissant les fans de fantastique se reporter sur Gérardmer qui n’arrive pas à retrouver l’écho de son illustre prédécesseur. Lorsqu’il éternuait tout le cinéma français s’enrhumait, Daniel Toscan du Plantier est mort et je m’en fous royalement, pour la raison susnommée ; qu’il aille en enfer.



Il a donné ses lettres de noblesse à la comédie grassouillette française, nous a fait passer quelques soirées dominicales et après-midi de jours fériés savoureux , jamais avare d’une paire de nibs bronzés, apôtre du gag foireux et de la vanne de potache, notre mi Ed Wood-mi Russ Meyer national vient de s’éteindre. Max Pécas est mort et c’est un genre cinématographique qui part avec lui. Des tacherons comme ça on est pas près d’en revoir, les nouveaux se prenant hélas au sérieux.