AND THE WINNER IS…
Michael Moore pour avoir osé ouvrir sa gueule devant la grande famille (dés)unie du cinéma, fustiger Bush devant Hollywood et son consensus mou, rappeler avec
Bowling for Columbine qu’une caméra peut être la plus forte des armes, écrire au Gouverneur Bush (il ne le reconnaît pas en tant que président légitime)
une lettre sévère .
Quant au reste de la cérémonie, the winner is :
l’hypocrisie face à
Polanski
l’incompréhension de voir que
Scorsese n’a jamais eu d’oscars
le plagiat en consacrant «
Chicago », succédané de
Bob Fosse .
la déception de voir que ce blanc bec de
Ben affleck se tape
Salma Hayek, il faut lui parler d’Alan Smithee.
On dirait pas comme ça mais je suis vraiment accro à la nuit des oscars.