Google
 
Du poil sur le Web Du poil sur Alan Smithee
<body><script type="text/javascript"> function setAttributeOnload(object, attribute, val) { if(window.addEventListener) { window.addEventListener('load', function(){ object[attribute] = val; }, false); } else { window.attachEvent('onload', function(){ object[attribute] = val; }); } } </script> <div id="navbar-iframe-container"></div> <script type="text/javascript" src="https://apis.google.com/js/platform.js"></script> <script type="text/javascript"> gapi.load("gapi.iframes:gapi.iframes.style.bubble", function() { if (gapi.iframes && gapi.iframes.getContext) { gapi.iframes.getContext().openChild({ url: 'https://www.blogger.com/navbar.g?targetBlogID\x3d3383812\x26blogName\x3dTHE+ALAN+SMITHEE+PAGE\x26publishMode\x3dPUBLISH_MODE_BLOGSPOT\x26navbarType\x3dBLACK\x26layoutType\x3dCLASSIC\x26searchRoot\x3dhttps://alansmithee.blogspot.com/search\x26blogLocale\x3dfr_FR\x26v\x3d2\x26homepageUrl\x3dhttp://alansmithee.blogspot.com/\x26vt\x3d8419836695219507794', where: document.getElementById("navbar-iframe-container"), id: "navbar-iframe" }); } }); </script>
 
    

 

 

 

 

 

 

vendredi 4 avril 2003

LE SMITITIVI

Semaine du 5 au 11 avril 2003

Le désert, le néant, rien de chez rien. Le PAF se la joue trou noir, alors sortez boire des vodkas caramel, allez au cinéma ou tirez un coup. Sur ce, on passe directement au prix citron :

LE NANAR DE LA SEMAINE

Subway- dimanche 6 avril, 23h15- TF1
Christophe Lambert se coiffe style spike avec décolo, Adjani se colle un mohican même pas rasé sur les cotés ce qui prouve bien que c’est une bouffonne et Besson se la pête branchouille en incluant l’imagerie punk pour faire rebelle et le style fluo underground des 80’s pour faire mode. Anglade joue un débile profond, Bohringer un faux aveugle absurde, Reno un batteur agaçant, et tout ce petit monde rêve de monter un super groupe de zicmu qui fait de la super zicmu de daube pour faire fuir les usagers qui vont bosser pendant que ces glandus vivent au crochet de la RATP. Seul Bacri s’en sort tant son rôle colle encore à ce qu’il est aujourd’hui. Subway se regarde aujourd’hui avec horreur tant il ne passe pas la barrière des années et on constate que Besson remportant un succès avec pareil naveton se dira qu’après tout un scénario de merde mais tourné avec une image léchée est suffisant pour contenter le quidam ; ce qui nous vaudra la carrière baltringue mais friquée qu’on connaît.