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lundi 3 octobre 2005

THE NAKED TRUTH ( the laundry fight club resolution)



Enfin quand même, depuis le temps que vous me lisez, est-ce que vous croyez vraiment que je suis le genre de mec à me foutre sur la gueule un dimanche dans une laverie ?

Reprenons le post ci-dessous...
REWIND
STOP
PLAY
On reprend là où la vérité s'est légèrement transformée :

Je souffle, rentre dans l'antre de la folie et me dirige vers la machine no 13 (un signe).
Le gars pige tout de suite, l'est pas con le bougre, et me balance un « z'êtes le fils de la dame ? »
Je me retourne, prends un air un peu méchant (du moins j'essaye) et réponds :
« oui, c'est moi ».
Là, Vin Diesel s'approche avec un grand sourire et me dit : « je m'excuse pour votre mère, je l'ai pas frappé hein, faut que vous le sachiez, je l'ai juste repoussé, je suis désolé. »

Moi qui était tout tendu et paré à un conflit sévère, je me retrouve face à un agneau qui se confond en excuses. Merde, fais chier me voilà désemparé.
Je lui explique que quand même, ma mère à un certain âge et que ça ne se fait pas d'avoir des réactions violentes face à une femme et qu'il faut pas s'étonner qu'elle ait appelé les flics car elle a eu peur et qu'elle n'a pas trop aimé non plus voir ta réaction (je le tutoie car le gars est de cette école) face à tes enfants etc.

Le faux baroudeur continue à s'excuser et me blablate sur sa vie :
« Tu comprends...enfant de la DASS...mes enfants...j'étais énervé... si t'as des gosses tu sais toi aussi ce que c'est, des fois ils sont chiants (oui mais bon, moi je leur fracasse pas la tronche contre le mur pense-je très fort)... et puis les flics ça m'a foutu les boules tu vois...LA DASS (oh putain, je discute avec Jean Luc Lahaye)...enfin vraiment désolé pour ta mère...je regrette... »

Voyant l'agneau blessé, je remue le couteau dans la plaie et balance :
« Tu sais qu'elle veut porter plainte ! »
Là Vin Diesel devient Danny de Vito : « non, non déconne pas, je vais avoir des emmerdes...mes gosses...LA DASS (c'est reparti...) etc.»

Parti en Clint Eastwood prêt à venger l'honneur bafoué, me voilà transformé en Woody Allen écoutant sur un divan les confessions d'un cave.
Le méchant s'avère n'être qu'un pur blaireau paumé. Pathétique.

Je reprends le linge et me barre de la laverie pendant que l'autre débile me balance encore des : « mes excuses à ta mère man... » (ouais c'est ça, j'y manquerais pas pauvre con me dis-je).
A l'orée de la porte, dans mon dos, il rajoute une phrase d'une stupidité hallucinante :
« Je lui souhaite une longue vie, hein, tu lui diras ».
Affligeant.

Quelques minutes plus tard :
« Maman, il t'as frappé ou pas le mec ?... car il dit que non, il dit qu'il t'as juste un peu poussé ».
« Non, c'est vrai, il m'a poussé mais... »
BLANC
« Maman...putain...tu fais chier ! »
« Oui mais...Mimi...»
« Non, non, c'est bon...laisse tomber, voilà ton linge »





La réalité est souvent moins belle que la fiction. Bien sur comme vous, je lui aurais bien écrabouillé sa tête de nain mais bon, je ne me bats pas, je ne sais pas me battre et surtout je n'en ai pas la moindre envie, seulement en pensée.


Ceci était juste un exercice de vigilance et j'apprécie que certains dans les commentaires aient mis en doute mes propos.
Alors ne croyez pas tout ce que vous lisez sur les blogs.



Maintenant vous pouvez me jeter des pierres.