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jeudi 28 avril 2005

3 PLAISIRS HONTEUX




Je fais suite à cette chaîne parvenue par l’intermédiaire de Godspeed et j’avoue m’être longuement penché sur la question.
3 plaisirs honteux à trouver …pas si facile.
Je fais partie des gens qui en règle générale n’ont pas vraiment honte, j’assume assez souvent mes actes, et surtout je n’ai quasiment aucun tabou. J’ai des principes ça c’est sûr mais pas de tabous.
Je ne supporte d’ailleurs pas du tout les gens qui posent des tabous sur des sujets complètement futiles, l’exemple phare étant notamment la question des salaires. Même la majorité de mes amis sont prêts à me raconter des histoires de culs vécues mais ne donneraient leur salaire que sous la torture…et encore.
Donc, pour revenir à nos moutons, il faudrait que le plaisir soit peu assumé pour devenir honteux et là j’avoue que je bute un peu.
Alors disons que :

1- J’aime le foot
A vrai dire, il fut un temps où je détestais le foot puis au travers de soirées foot entre potes, j’ai commencé à me prendre au jeu. En réalité, nombre de nos soirées matches sont en réalité plus un prétexte pour se retrouver en milieu de semaine entre amis et boire trop de bières que faire nos supporters de base, les matches étant souvent aussi inintéressants qu’un documentaire Ouzbek.
Le seul point sur lequel je pourrais ne pas assumer d’aimer le foot c’est que ce sport traîne derrière lui un paquet de blaireaux lourdots auquel je ne m’identifie pas.
Cependant, j’avoue parfois être le spectateur de base qui dit « aux chiottes l’arbitre, chiqué, pieds carrés, cons de ritals, bourrins de schleus, enfoirés de britons etc… » Bref de jolis termes d’une intelligence rare.
En fait, regarder un match de foot t’offre 90 minutes de beauferie assumée et parfois ça repose la bête qui est dedans d’éructer connement.

2- J’aime les films de teenagers
Oui, je ne sais pas pourquoi, j’ai 35 ans et j’aime toujours les grosses âneries pour ados attardés. J’ai beau trouver ça complètement con, je prends quand même du plaisir à regarder des débilités comme « American Pie » . Je ne me lasse toujours pas de « Breakfast Club » qui pourtant est super daté années 80 mais qui me renvoie à mon adolescence et je peux toujours revoir Pretty in Pink » ou « sixteen candles » avec autant de nostalgie. J’adore toujours le film Weird Science et la série ne me déplait pas non plus alors que c’est plus du tout de mon âge ; allez comprendre.

3- Je collectionne les touilleurs
Ça j’avoue c’est nul ! Ça date de 1977, j’avais 7 ans et à chaque fois que je partais en voyage avec ma maman, je flashais toujours sur les touilleurs qui accompagnaient mon diabolo, mon coca tranche ou le cocktail des adultes.
J’ai jamais arrêté de les collectionner et depuis le temps j’en ai au moins 400 différents (je ne les ai jamais compté) et même si je n’attache aucune importance à cette collection stupide, je pique toujours les touilleurs que je n’ai pas pour les ramener chez moi où ils finissent entassés dans une grosse boite à chaussures.
Très très con et collection très très nulle et surtout inexposable.
 
dimanche 24 avril 2005

ANNIVERSAIRE ET PAIRE DE NICHONS




L’interruption de connexion Internet m’a fait rater un évènement majeur pour ce blog.
Eh oui, il faut que je vous dise ma bonne dame que le 11 mars 2005, ce blog fêtait ses 3 ans.
Je cède donc à la tentation de tous les blogeurs qui consiste à faire un point sur les années écoulées.
Aujourd’hui ce blog, c’est :

- 561 posts
- 540 commentaires (faudra faire des efforts les lecteurs là, la moyenne est basse)
- Environ 82.000 visites (ce qui est peu par rapport à certains. Au passage, en tant que 270.000 ème visiteur, je revendique la tournée du patron)
- Et surtout beaucoup de conneries écrites

Cependant je tiens à m’offusquer d’un scandale honteux, d’une injustice intolérable, d’un camouflet ourdit par les forces du mal ; en 3 ans d’existence, voilà le résultat :
0 paires de seins reçues avec un fan sign.
Inutile de dire que je suis très déçu mesdames les lectrices, moi qui pensait que ma vie virtuelle m’offrirait vos corps ébahis par ma verve (non y’a pas de faute de frappe) endiablée !
Ben non que dalle, nib (c’est le cas de le dire), nada. Pas une lectrice folle de mon layout épicé n’a osé me balancer un souffle d’amour de cet acabit.

Vexé, je pars comme un prince et continuerais à écrire même si ces dames font leurs mijaurées, pffffffff !






Merci à vous de me donner l’envie de continuer ce blog.
 
lundi 18 avril 2005

TRANSUMANCE

Bon c'est tout moi ça.Au moment où j'annonce mon come-back en fanfare, faut que je me barre toute la semaine à Paris. Du coup je ne pourrais poster de la semaine, mes fonctions ne me permettant pas de demander à mon big chief un portable adsl illimité wifi qui par ailleurs me servirait plus à surfer sur des sites de cul le soir dans ma chambre d'hôtel qu'à vous raconter mes siestes lors d'interminables réunions marketing-services clients-branlette.

Cependant avec un grand C, vous me ferez le plaisir de ne pas rater Mulholland Drive sur France 3 à 20h55 Jeudi soir. C'est hélàs en VF mais si vous voulez passez une soirée dans un au-delà Lynchien, c'est OBLIGATOIRE.
Comme je suis à la bourre, je vous balance la critique Smititivi de Mai 2003.
A la semaine prochaine.

Mulholland Drive:

Lynch repousse sans cesse le cinéma vers de nouvelles frontières, voir un de ses films est une expérience visuelle et sensorielle, une plongée dans un dédale obscur, une rencontre énigmatique. On pense la première fois à un immense foutage de gueule et on peut en rester là mais cela serait passer à coté d’un cinéaste qui en réalité fait tout le contraire.
Lynch prend ses spectateurs pour des gens intelligents ( ce qui est rare dans le cinéma Américain) et construit ses films comme d’immenses puzzles éparpillés dont il faut retrouver les pièces au cours de l’histoire. Le cinéma de Lynch est participatif, le spectateur se doit de faire un effort pour comprendre ce qui paraît au départ incompréhensible. Plus que les autres, Mullholand Drive est parsemé d’indices, de clefs qui ouvrent des portes derrière lesquelles se cachent encore d’autres mystères.
Cependant Lynch n’oublie pas pour autant de faire du cinéma, la photo est hallucinante, les acteurs éblouissants, et utilise mieux que quiconque les effets sonores et la musique. Expérience totale, jouissive, dérangeante, effrayante et aussi drôle ; Mullholand Drive est définitivement le chef d’œuvre de ces dix dernières années.
 
jeudi 14 avril 2005

DO MI SI LA DO RE



Voilà, Internet est revenu dans mon nouveau foyer et là je dois avouer que Free a été d’une rapidité à toute épreuve. Inscription envoyée le 24 mars, Freebox arrivée le 6 avril, connexion activée le 9 avril.
J’avoue quand même avoir regardé l’écran digital vert faire des ronds pendant 3 jours en craignant le pire.

Tout bon lecteur qui suit ce blog doit avoir maintenant la question qui démange : « alors cette maison pas chère, y’a une couille ou pas ? »
Et bien pas ! Niveau bruit, nous sommes passés du tout au tout. Le calme absolu, à tel point que j’en oublie être en ville. Pas un bruit de bagnole, pas un voisin taré qui ferait du clairon à 3 plombes du mat ou un forcené de la bricole qui transformerait son « Sam Suffit » en Chambord.
Je ne me souvenais plus ce que c’était que dormir normalement, ni qu’il était possible que seuls les oiseaux qui chantent puissent te sortir du sommeil après une nuit de plomb sans aucun réveil.

Là, vous vous dites : « ah ça y’est la scoumoune est partie ».
Je l’espère mais la poisse est comme une comète, elle repart aussi vite qu’elle est arrivée cependant il faut subir encore quelques temps les poussières laissées par sa queue.
Pour exemple : alors que l’option de quitter l’appart avant même de l’avoir vendu et de prendre une loc nous laisse exsangue financièrement, la comète de la poisse est venue frapper direct dans le porte monnaie, là où ça fait le plus mal en ce moment.
Le syndic de l’appart me gicle un rattrapage de charges de 2004 de 490 euros, la bagnole a décidé de se séparer de son démarreur pour 250 euros et le lendemain quelques menus voyous ont décidé de la délester d’une vitre pour subtiliser un auto radio qui n’existe pas.
Quant à mon pc, il a décidé du jour au lendemain que fonctionner normalement n’était pas obligatoire et que de surcroît sa carte vidéo n’aimait pas mon Flatron 19 pouces. Je vous jure, on ne peut plus se fier à personne.

Je vous raconterais aussi la bonne blague de notre nouveau no de téléphone mais ça, ça vaut un poste à lui seul.

Enfin, l’essentiel c’est qu’aujourd’hui, plus personne ne me casse les burnes et ça, ça vaut tout l’or du monde.

Pour couronner le tout, « Whodunit » est enfin terminé et l’avant première à lieu à Nantes samedi matin.


I’m back. Ça va chier !
 
mardi 12 avril 2005

BACK IN TOWN

Connexion retrouvée- Réouverture imminente.