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lundi 31 octobre 2005

HALLOWEEN



C'est étonnant comme les cris de Jamie Lee Curtis deviennent ridicules sortis de leur contexte. A chaque fois que j'écoute ça, je ne peux m'empêcher de me marrer bêtement.

Scream Girl


Et si vous souhaitez, vous foutre un peu les pétoches ce soir, il y a quelques ziziques d'ambiances qui vous attendent sur mon autre Blog : Score*Blog.
 
lundi 24 octobre 2005

NOUVELLES DU FRONT



Mon lave-vaisselle fonctionne
Demain c'est porc au lait de coco
j'ai enfin une carte ethernet
Ma nouvele brosse à dent est orange
Mon fils a fait du poney aujourd'hui
J'aime pas les chevaux
L'action Google est à 340 Dollars
Je vais aller me coucher

En fait, ça peut être passionnant un blog si on s'arrache un peu.
 
vendredi 14 octobre 2005

PANDEMIE ET PANDEMOI SONT DANS UN BATEAU




Je suis ravi ces jours-ci en regardant les infos d'apprendre que je vais mourir, rectification, que nous allons tous mourir.La grippe aviaire est aux portes de l'Europe et va fondre sur nos âmes comme une walkyrie, le rhume du poulet va envahir nos contrées, la grippe Père Dodu va avoir raison de nous pauvres Français et d'elle dépend l'extinction des Gaulois (qui je le rappelle est aussi une marque d'ovni à base de volailles).Enfin ça c'est le discours des médias qui nous balancent des chiffres et des scénarii à foutre les jetons à une armée de morts vivants mais qui terminent toujours par un « n'ayez crainte, le gouvernement anticipe une pandémie de la sorte », « la France est préparée » ; un désamorçage bien putassier en quelque sorte.

Tout d'abord, ce virus n'a pour l'instant pas muté malgré un voyage de quelques bons milliers de kilomètres et ne touche que les trucs qui volent, or jusqu'à preuve du contraire, l'homme ne s'élève pas encore dans l'air sans l'aide d'une machine. Cette non faculté fait donc de nous une non cible à ce jour pour le « atchoum du piaf ».

Alors maintenant admettons que le salopard de H5N1 mute et devienne un hôte pour même ceux qui volent pas, c'est-à-dire nous, comment peut on dire que nous sommes préparés ?
1.Entre 1 et 5 millions de doses, selon les sources, de Tamiflu disponibles à ce jour. Si le couillon déboule dans quelques semaines, ça va faire beaucoup de morts ça.

2.40 millions de doses commandées par le gouvernement. Ok, moi je veux bien mais bon, il me semble que nous sommes 60 millions. Ça fait quand même 20 millions de gens canés, ç'est pas une paille quand même. A moins qu'on évince les petits vieux, mais alors là faudra qu'on m'explique pourquoi nous avons bossé le jour de la pentecôte.

3.Et d'ailleurs qui nous dit que le Tamiflu va fonctionner, hein, hein ??

4.Et puis qui nous dit que cette grippe sera mortelle, hein hein ? peut être qu'elle n'aura comme effet sur l'homme que de coller une petite fièvre, la morve au nez et une bonne chiasse.

Oh et puis merde, une bonne hécatombe, ça relancera l'économie et soyons confiants avec Le Pen et Sarkozy dans l'hexagone, m'est avis que le lascar même pas de chez nous n'osera pas passer nos frontières (comme le nuage de Tchernobyl).

 
mercredi 12 octobre 2005

QUELQUES SECONDES DE MAUVAISE FOI



Avec un tel bordel sur un si petit bout de terre, ça voudrait nous empêcher d'aller en Teutonie en 2006 ?
Non mais laissez moi rire !
 
jeudi 6 octobre 2005

GRRRRRRRRRRRRRRR

Suite à une plante de ma boite mail, j'ai perdu tous les messages envoyés entre hier et ce jour. Alors si vous m'avez envoyé un mail dans les 48 dernières heures ( et je sais qu'il y en avait , j'ai notamment entre-aperçu une invit à une projection avant que tout s'efface) , merci de le renvoyer.
 
mercredi 5 octobre 2005

PETITE LECON DE GEOGRAPHIE



En gros la question posée à ces américains de la rue, c'est :
" Quel pays devrions nous maintenant envahir ? "
puis d'éventuellement pointer sur une carte l'emplacement dudit pays.

En plus de sortir des conneries , c'est bien connu pour un américain: la France et l'Australie, ça se touche et une carte truquée ne semble pas les perturber.
 
lundi 3 octobre 2005

THE NAKED TRUTH ( the laundry fight club resolution)



Enfin quand même, depuis le temps que vous me lisez, est-ce que vous croyez vraiment que je suis le genre de mec à me foutre sur la gueule un dimanche dans une laverie ?

Reprenons le post ci-dessous...
REWIND
STOP
PLAY
On reprend là où la vérité s'est légèrement transformée :

Je souffle, rentre dans l'antre de la folie et me dirige vers la machine no 13 (un signe).
Le gars pige tout de suite, l'est pas con le bougre, et me balance un « z'êtes le fils de la dame ? »
Je me retourne, prends un air un peu méchant (du moins j'essaye) et réponds :
« oui, c'est moi ».
Là, Vin Diesel s'approche avec un grand sourire et me dit : « je m'excuse pour votre mère, je l'ai pas frappé hein, faut que vous le sachiez, je l'ai juste repoussé, je suis désolé. »

Moi qui était tout tendu et paré à un conflit sévère, je me retrouve face à un agneau qui se confond en excuses. Merde, fais chier me voilà désemparé.
Je lui explique que quand même, ma mère à un certain âge et que ça ne se fait pas d'avoir des réactions violentes face à une femme et qu'il faut pas s'étonner qu'elle ait appelé les flics car elle a eu peur et qu'elle n'a pas trop aimé non plus voir ta réaction (je le tutoie car le gars est de cette école) face à tes enfants etc.

Le faux baroudeur continue à s'excuser et me blablate sur sa vie :
« Tu comprends...enfant de la DASS...mes enfants...j'étais énervé... si t'as des gosses tu sais toi aussi ce que c'est, des fois ils sont chiants (oui mais bon, moi je leur fracasse pas la tronche contre le mur pense-je très fort)... et puis les flics ça m'a foutu les boules tu vois...LA DASS (oh putain, je discute avec Jean Luc Lahaye)...enfin vraiment désolé pour ta mère...je regrette... »

Voyant l'agneau blessé, je remue le couteau dans la plaie et balance :
« Tu sais qu'elle veut porter plainte ! »
Là Vin Diesel devient Danny de Vito : « non, non déconne pas, je vais avoir des emmerdes...mes gosses...LA DASS (c'est reparti...) etc.»

Parti en Clint Eastwood prêt à venger l'honneur bafoué, me voilà transformé en Woody Allen écoutant sur un divan les confessions d'un cave.
Le méchant s'avère n'être qu'un pur blaireau paumé. Pathétique.

Je reprends le linge et me barre de la laverie pendant que l'autre débile me balance encore des : « mes excuses à ta mère man... » (ouais c'est ça, j'y manquerais pas pauvre con me dis-je).
A l'orée de la porte, dans mon dos, il rajoute une phrase d'une stupidité hallucinante :
« Je lui souhaite une longue vie, hein, tu lui diras ».
Affligeant.

Quelques minutes plus tard :
« Maman, il t'as frappé ou pas le mec ?... car il dit que non, il dit qu'il t'as juste un peu poussé ».
« Non, c'est vrai, il m'a poussé mais... »
BLANC
« Maman...putain...tu fais chier ! »
« Oui mais...Mimi...»
« Non, non, c'est bon...laisse tomber, voilà ton linge »





La réalité est souvent moins belle que la fiction. Bien sur comme vous, je lui aurais bien écrabouillé sa tête de nain mais bon, je ne me bats pas, je ne sais pas me battre et surtout je n'en ai pas la moindre envie, seulement en pensée.


Ceci était juste un exercice de vigilance et j'apprécie que certains dans les commentaires aient mis en doute mes propos.
Alors ne croyez pas tout ce que vous lisez sur les blogs.



Maintenant vous pouvez me jeter des pierres.
 
dimanche 2 octobre 2005

LAUNDRY FIGHT CLUB



Le problème d'être adulte, c'est que ce n'est plus vous qui avez besoin de vos parents mais vos parents qui ont besoin de vous.
Et pour ça, j'ai une mère fabuleuse. Une poissarde comme elle tu n'en fais plus, le moule est cassé. Une scoumoune majestueuse lui colle aux fesses et elle devient donc la reine des plans foireux, l'impératrice des situations pourries.
Dimanche dernier lui prit l'envie d'aller faire du gros linge dans une laverie du quartier ce qui avouons le n'a rien au départ d'une situation branque mais avec ma mère, on peut s'attendre à tout.
Inévitablement ce qui devait arriver arriva, la malchance lui est tombée dessus comme le kilo de merde et c'est bibi qui a dû la ramasser.

La situation est la suivante : ma chère mère attend patiemment lorsqu'un brutos présent commence à cogner sur ses gosses qui ne peuvent se concentrer devant le spectacle passionnant du tambour qui tourne. Faut quand même être con pour penser que ses mômes vont se passionner pour une machine orange pendant 2 heures, séchage compris, sans sourciller.
Le butor énervé continue à frapper ses chiards d'une telle force que ma mère (psy de son état, ce qui n'arrange rien dans ce genre de situations) tente l'intervention censée stopper tant de violence sur mineurs mais en un quart de seconde le débile affûté lui balance un taquet accompagné d'un « kestata t'es pas contente, t'as un blême...etc. ».
Du haut de ses 1, 60 environ, elle prend peur et fuit la laverie maudite puis appelle les flics.

Inutile de dire que les flics arrivent et ne font rien, juste un petit coup de morale et repartent aussi vite car c'est dimanche et tu comprends y'a Pastis à Waldeck-Rousseau...

Du coup, ma tendre maman se retrouve esseulée, les forces de l'ordre ayant lâché le principe de la veuve et l'orphelin, elle ne pouvait récupérer son linge resté dans la machine et gardé par un Cerbère doublement énervé par sa confrontation avec la maréchaussée. Le fou véxé risquait de lui rebalancer une taloche en pleine poire.

C'est là qu'intervient votre serviteur : « allô Mimi (oui, ma maman m'appelle Mimi, ne me demandez pas pourquoi, j'ai jamais compris), je t'explique...bla bla bla... résumé du drame...bref il faut que tu ailles récupérer mon linge devant un connard en furie qui va peut-être te péter la gueule mais bon, j'ai besoin de ma couette alors tu comprends...»
« oui, je comprends qu'il est midi, qu'on est dimanche , que je suis en train de bouffer et que coller un taquet dans tronche d'un relou, c'est pas dans mon humeur du moment mais bon......... .......................................................................................................... ok, j'y vais ».


12h30 heures devant la laverie :
Le mec est toujours là avec ses quatre rejetons. Je suis gonflé à bloc mais pas fier car seul ; et ne sais pas à qui je vais avoir affaire.
Je sors ma vista bionique avant de pénétrer dans la laverie de l'enfer et targette ma cible en deux secondes. Crâne rasé, costard de mafioso, des bagues pleins les doigts et une tronche de chatard fini. Pour exemple, imaginez Vin Diesel en plus petit car le gus ne devait pas dépasser le mètre 65 mais par contre avait la même carrure que l'acteur susnommé.


Bon ben va falloir y aller...respiration profonde...car ceux qui me connaisse savent que mes 1.80m ne sont couvert que par 65 pauvres kilos ce qui fait de moi ce qu'on nomme « un grand maigre».

Je souffle, rentre dans l'antre de la folie et me dirige vers la machine no 13 (un signe).
Le gars pige tout de suite, l'est pas con le bougre, et me balance un « z'êtes le fils de la dame ? »
Je me retourne, prends un air à la Nicolas Cage fou (Emmanuel, un bon pote vous confirmera que je le fais bien) et réponds : « oui c'est moi » (comme Loulou).
Le timbré me balance : « c'est pas bien d'avoir appelé les flics, je suis un enfant de la DASS et je voudrais pas que mes enfant y aillent à leur tour ».
« C'est pas bien de frapper une femme, encore plus lorsqu'elle est beaucoup plus âgée que vous. Elle a pris peur, elle a plus de cinquante ans, elle ne peut pas se défendre face à une tête de con comme vous » rétorque-je.
« T'as un problème ? ».
« Non moi j'en ai pas mais toi tu en as un, tu frappes tes enfants et tu as frappé ma mère, alors je vais te tuer » (ce genre de phrases fait peur à l'adversaire).

-Attention éloignez les enfants-

Vin Diesel me balance illico un marron que j'évite miraculeusement et riposte immédiatement par un coup de saton qui lui arrive direct dans la gueule (je bénis mes 20cm de plus que lui et la marche d'entrée sur laquelle j'étais posté), son nez pisse direct le sang et il chute en arrière.
Le cinglé est au sol, j'ai l'avantage, je lui balance un coup de talon pleine face et il s'éteint.
Je prends le linge dans la machine no13 et pars en courrant le souffle coupé et une brume rouge devant les yeux, celle des Berserks, celle qui occulte la réalité et te fais devenir un meurtrier.
Je me retourne une seconde et vois ses gosses, je me fous d'eux...leur père est un con, violent, il doivent avoir l'habitude.

Je ramène le linge à ma maman et peste sur le fait que j'ai du faire face à un enculé de première et que plus jamais je ne veux revivre ça.

Je suis rentré ensuite finir mon déjeuner, j'avais quand même faim et un goût de Fight Club dans la bouche...presque une envie de recommencer.

J'ai mis du ketchup dans mon assiette.